Les films, « Afrique, je te plumerai » et « Aimé Césaire : Une voix pour l’histoire » (parties I-III) représentent les voix des colonisés dans un monde en train de changer. « Une voix » touche plus la rédécouverte de l’identité culturelle des peuples colonisés avant et au moment de la retraite européene de l’Afrique ; « Afrique » parle plutôt des effets durables de colonisation sur les pays (Cameroun en particulier) qui, libres maintenant de la contrôle européen, luttent à trouver l’equilibre dans le monde post-colonial. Ensemble, toutes les deux offrent une vue dans quelques grandes thèmes de la colonisation et nous laissent examiner la « fin » de l’époch colonial par les yeux des colonisés.
La première partie d’ « Une voix » donne l’histoire d’Aimé Césaire, un poet, penseur, écrivain et homme politique martiniquais dont les poems, lettres, et pièces ont influencé beaucoup les pensées sur la décolonisation et ce qu’il veut dire être noir et libre de se définir. Né à Martinique en 1913, il a gagné sa perspective sur la situation colonial par étudiant à Paris, où il avait gagné une bourse d’études. Là, il a rencontré ses amies Léopold Sénghor (de Senegal) et Léon Damas (de Guyane Française), qui ont partagé ses interets, et qui deviendraient bien connu avec Césaire comme des penseurs sur les questions de race et culture. Ensemble, les trois ont publié le prémier numero de L’Étudiant Noir, une revue litteraire. Leur intélligence était apparent, et a mis en question l’idée de l’infériorité native des gens d’origines Africains, cultivé avec tellement fascination pendant l’ère coloniale. Ces trois jeunes hommes, instruits à un lycée français, commençaient à essayer de se définir après avoir été definis, pendant des années, par les colinisateurs. Ceci est un des grandes problématiques de colonisation : le besoin de se definir. En parlant de ce sujet, ce besoin est la raison pourquoi les européens ont fait tellement d’études scientifiques sur « l’autre ». C’est avec ce but que des « scientifiques » aux « zoos humains » ont mésuré et essayé à quantifier les differences entre les races, et c’est encore avec ce but que la développement de « Social Darwinism » a eu lieu. Les européens ont cherché une justification pour la colonisation, et à cause de ça, leurs études avaient la tendance de les placer en relation avec la reste du monde ; d’habitude, ils ont « découvert » leur place en haut. Ici on voit cette thème à l’inverse : à la fin de colonisation, c’est les colonisés qui doivent se trouver dans le monde, ayant perdu de leur culture dans l’oppression de colonisation.
Dans la deuxième partie, « Une voix » suit Césaire pendant la développement de ses idées très originals, particulièrement le concept de « negritude ». Césaire, avec ses amis scolaires, a soutenu qu’au lieu d’assimiler, comme si les blancs avait eu raison en trouvant les africains dans le besoin de la mission « civilisatrice », il faut que les noirs retrouver leur vrai culture africaine, avant que les épochs d’esclavage et de colonisation l’avait diminué et dégradé. Avec ses idées, Césaire est entré au politic dans la partie communiste de Martinique (et, eventuellement, de la partie communiste de la France), comme poet et penseur. Mais il a été touché par la dénoncement par la partie de la « musique décadente » comme jazz, et bientôt il est parti de la partie communiste, disant dans une lettre très influentielle qu’il fallait que la partie travaillent pour les noirs, pas que les noirs travaillent pour la partie. L’adoration de la culture noire dans les arts et les divertissements, comme la musique jazz, ou les poets de la « Harlem Renaissance », ça juxtapose avec la dégradation des cultures de « l’autre » apparent dans les evenements comme l ‘Exposition Coloniale, formant un des grands paradoxes de colonisation. Au même moment des études susmentionnés, qui « preuvent » l’infériorité des non-européens, les français (et bien toute l’Europe) étaient fascinés par la musique, la danse, tous ce qui était vu comme exotique. Ce fascination, ce goût de l’exotique, caractérisait toute la période de colonisation, et ce paradoxe continue dans l’ère post-colonial. La mouvement pan-africaine dans laquelle Césaire a été engagé me frappe comme un continuation sur la même idée, sans le même sens de dégradation ; les artistes modernes ont apprécié la culture africaine pour sa valeur artistique, pas pour un sens ignoble quelconque de barbarisme ou hypersexualité. Picasso, un ami de Césaire et dont les oeuvres ont été inspirés beaucoup par l’art « primitif » de l’Afrique, a décrivé Césaire comme « the embodiment of black art ».
La partie finale d’ « Une voix » revisite la participation de Césaire dans les dernières années de colonisation. Mandela est sorti de prison, la suffrage universelle a été implémenté à 1956, et la retraite des colonisateurs et la choix de nouvelles gouvernements se sont eu lieu. Césaire continue à écrire la poésie sur le sujet de l’identité noir, mais comme partout en Afrique le pouvoir était en train de changer des chefs européens aux chefs noirs, Césaire s’est concerné sur partageant ses idées politiques. Pour ce raison il a offri comme exemple la situation en Haiti, où la transition a donné une modèle de ce qu’il faut pas faire. Il a écrit La Tragède de King Christophe, une pièce pour la théatre, une forme artistique qu’il a pensé serait mieux entendu par les peuples des pays en transition. Encore, ce parle de la mission civilisatrice et de l’assimilation : l’argument de Césaire contre le nouveau pouvoir en Haiti était que la nouvelle gouvernement n’avait changé rien que le couleur du chef. Il a essayé de montrer catégoriquement que la revolution ne veut pas dire simplement changer les leaders politiques et continuer à faire les mêmes choses. Pendant le tumulte au Congo dans sa lutte pour l’indépendence, il a produit une autre pièce, Une Saison de Congo, encore offrant ses idées pour une gouvernement vraiment africaine au lieu d’un ombre de la ancienne gouvernement. Par divisant au hasard l’Afrique et imposant par force leur système, la « civilisation » des européens a réussi en faisant les africains oublier leur propre mode de dirigeant et organisation, et Césaire a cherché à les aider le retrouver.
En « Afrique, je te plumerai », la narrateur recommence où « Une voix » a fini, quelques années après les anglais sont partis de Cameroun. Le titre, « Afrique, je te plumerai », vient d’un chanson pour les petits, comme si, traités comme des enfants ou des humains incomplets, les africains sont maintenant préparé a utilisé ce qu’ils ont appris du monde colonisateur pour l’echapper. Les pouvoirs européens ont laissé le pays en désordre ; le Cameroun était un pays exploité pour ses resources, et quand ils étaient tous utilisés, ils sont partis. Encore aujourd’hui, pour réussir dans la société, les parents disent à leurs enfants qu’il faut travailler dedans la système, à l’école, (encore les restes de la système de colonisation et « civilisation »). Le film explore le question des conséquences de la colonisation après l’indépendence, et il a trouvé que les européens sont les propriétaires encore de la plupart d’information, des infrastructures en Cameroun, parce que les pays occupés n’ont eu pas l’occasion de créer leur propre infrastructure. Le narrateur a dit qu’il cherche comment les indigènes ont résisté, et ce qui reste de leur culture, mais en cherchant, il trouve que la plupart des livres disponibles aux bibliothèques sont écrit par les anglais ou les français, rarement par les camerounais, et le plus rare était des livres sur la Cameroun par les camerounais. C’est difficile de se recréer quand quelqu’un d’autre possède votre histoire, et j’imagine que c’est difficile aussi d’eviter croire l’histoire raconté par les colonisateurs. C’est ce que Aimé Césaire a esperé de changer.
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