Après avoir se suicidé, dans la pauvrété et la prostitution, ses organes génitaux était exposé pour toute le monde a voir au musée. La tristesse de sa vie est claire et émouvant—mais la tristesse de son mort et aussi insupportable. Son corps n’était pas retourné en Afrique du Sud et donné un enterrement respecteux jusqu’à 2002.
Thursday, September 10, 2009
La vie et la mort de la « Vénus Hottentot »
L’histoire raconté dans le lien suivant est triste et trop longue. Une femme esclave d’Afrique de Sud avec une difformité congénitale était apporté en Europe pour qu’elle soit montré dans les exhibitions des gens exotiques. « Saartjie Baartman » (son nom européen donné) a fait sensation là, des grand fous la regardant comme objet sexuel, une exemple de la race primitive africaine. Elle était une seule pièce dans la collection européen dessiné a démontrer des grandes différences (et, par extension, l’infériorité) de la race africaine.
Après avoir se suicidé, dans la pauvrété et la prostitution, ses organes génitaux était exposé pour toute le monde a voir au musée. La tristesse de sa vie est claire et émouvant—mais la tristesse de son mort et aussi insupportable. Son corps n’était pas retourné en Afrique du Sud et donné un enterrement respecteux jusqu’à 2002.
Après avoir se suicidé, dans la pauvrété et la prostitution, ses organes génitaux était exposé pour toute le monde a voir au musée. La tristesse de sa vie est claire et émouvant—mais la tristesse de son mort et aussi insupportable. Son corps n’était pas retourné en Afrique du Sud et donné un enterrement respecteux jusqu’à 2002.
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