Tuesday, October 13, 2009

Film Review: Anatomy of a Springroll


Ce film joueur suit le voyage et les pensées de Paul Kwan, un homme vietnamien-américain, pendant qu’il explore sa propre histoire et sa place dans le monde. Il utilise beaucoup de métaphor, surtout sur l’alimentation, pour réflechir sur sa culture (ou, bien, ses cultures), sa famille, Saigon, et San Francisco. Il utilise une mélange d’arts visuels différents (des animations, vieux films, des entrevues, etc.), rendant le film badin et, je pense, plus interressant et accessible.

Kwan utilise des images des marchés de Saigon pour montrer l’importance de la nourriture dans les deux cultures, en parlant de la fusion des deux dans soi-même. Il partage du film de sa famille, montrant la signification de l’alimentation dans la vie quotidienne des gens, et beaucoup de scènes des gens en train d’acheter, préparer, et manger la nourriture. Sa mère figure dans le film un peu comme une voix sage offrant des solutions aux ses questions, qu’elle croit peuvent être trouvé toujours à la table.

J’aimais bien ce film, comme histoire personelle qu’une commentaire sur l’intersection entre deux cultures tous les deux. Quelques unes des petites tangentes j’ai trouvé d’être un peu trop abstrait pour moi, par exemple les hommes en noir et blanc avec les têtes cubiques, mais j’apprécie l’enjouement qu’elles a ajouté au film. Pour parler de sa place entre deux cuisines, je préfererais qu’il aie montré plus de film sur sa vie et son alimentation à San Francisco, qui a une cuisine très éclectique et intérressante soi-même.

Les livres de Marguerite Duras: Un Barrage contre le Pacifique et L’Amant

Marguerite Duras est une écrivaine et cinéaste française prolifique, née dans une ville nord de Saigon en 1914. Ses oeuvres sont souvent autobiographiques, décrivant sa vie comme fille française blanche élevée à Vietnam. Les deux romans Un Barrage contre le Pacifique et L’Amant partagent un grand nombre de similarités à cause de leur aspect autobiographique, mais leurs styles et thèmes diffèrent significativement. Cependant, ces deux livres nous offrent une perspective unique sur les thèmes de la colonie française en Indochine.

Un Barrage Contre le Pacifique raconte l’histoire d’une fille, Suzanne, et sa famille disfonctionelle et pauvre. Elle et son frère Joseph veulent bien échapper la situation de leur mère, qui , toujours espèrant contre toute réalité, essaie encore et encore de trouver une bonne vie dans leur bungalow isolé et de planter des semences dans la terre salée. Le nom du livre fait référence aux efforts futiles de la mère de construire des murs tout autour du plein pour empêcher l’invasion annuelle de la mer. Cet sentiment d’être impuissant face à des pouvoirs beaucoup plus grand (la mer, les agents du gouvernement, la pauvreté), celui représente les effets de colonisation sur les colonisé ; bien que Suzanne et sa famille soient blancs et françaises, ils se sont perdu néanmoins dans le système écrasant de la colonie. Cette idée d’être enlisé, sans choix, sans pouvoir, est montré également par les relations de Suzanne avec Monsieur Jo, un soupirant qui, parce qu’il a de l’argent, peut la maîtriser jusqu’à un certain degré, à tel point qu’elle pense à lui-même que « le monde la prostitua ». Comme tout l’Indochine, elle se trouve sous un pouvoir la coinçant, qui veut, comme un autre prétendant, Monsieur Barner, la former, la definir. On voit aussi dans ce livre un sens de l’exploitation de la colonie par les français—pas trop en matière des ressources naturelles, mais plus la vue des colonies comme des cours de récréation pour les hyper riches. Les personnages comme M. Jo et M. Barner, comme la femme mariée avec qui Joseph a eu un liaison, ils vivent parmi des gens très pauvres pour sembler même plus riches, profitant du manque de loi et jouissant une vie de l’aise incroyable pendant les autres travaillent sans rien gagner. Contrairement aux Suzanne et sa famille, ils ont la mobilité de faire ses propres choix, d’échapper s’ils le veulent.

L’Amant raconte une histoire similaire, encore une jeune fille née en Vietnam avec une mère instable et un frère effrayant. Encore la protagoniste est adoré par un homme riche, mais cette fois c’est un chinois rich au lieu d’un français. Leur liaison est improbable : il est chinois, elle blanche ; il est rich, elle pauvre ; il est plus agé, elle très jeune, et la thème de l’impossibilité de ce relation est de plus en plus évident à travers de l’histoire. Le façon dans lequel elle raconte l’histoire est très différent de celui de Barrage ; il n’est pas chronologique, c’est plus comme une série de photos brumeuses, comme si Duras a écrit ses souvenirs pendant elle rêvassait. Ce style donne le livre une autre perspective sur la thème d’impossibilité : l’impossibilité de bien raconter l’histoire d’une vie, sans parler d’une époque dans l’histoire. Il n’y a pas même le petit niveau de discussion des vietnamiens indigènes qu’on trouve dans Barrage parce que cette histoire est beaucoup plus personelle que celle-là, et je trouve qu’elle n’essaie pas de raconter une histoire de la colonie autant qu’une histoire de une premier amour. Mais même sans l’intention, on peut trouver des thèmes de la colonisation là. L’interêt dans la sexualité des « autres » qui était évident dans la culture européenne de cette période est apparent aussi dans les déscriptions de l’amant de Cholon. Il est feminisé, sans muscles, maigre, « sans virilité autre que celle du sexe ». D’habitude, on entend de l’sexualisation des femmes de l’Orient ou de l’Afrique, mais ici Duras dépouille l’homme chinois de sa masculinité. C’est L’Amant qui a fait Duras connue, et je pense que c’est à cause de l’impression de honnêteté que son style donne au lecteur, presque comme une confession privée.

Tuesday, October 6, 2009

Presse: La Voix Libre

La Voix Libre, un journal publié à Saigon des années vingts et trentes, se décrive, en haut de chaque numéro, comme le suivant :

« Le Voix Libre, Organe de défense de tout Français contre l’arbitraire et le favoritisme »

Après avoir lu plusieurs numéros de cette presse, je suis assez d’accord avec ce déscription. Les articles sont souvent écrites pour raconter les nouvelles dans une voix au contraire de celle de la gouvernement. Le ton est de temps en temps un peu familier, souvent utilisant « nous » comme si ce journal-ci réprésente les idées de tous les français pensants en Indochine, ou peut-être pour donner l’impression de « nous » contre « eux ». Voici un autre explication de l’éxistance de ce journal :

« Devant les abus de toutes sortes, et les violations de loi, devant les gaspillages continuels et les dépenses inutiles, , devant la vénalité et la faibless coupable de nos chefs et de nos gouvernants....il faut que se dresse une presse indépendante ... Sachez vouloir et maintenir votre volonté inébranlable de résister aux puissances d’argent aux corrupteurs de l’opinion publique et aux adorateurs déguisés de l’Ancien Régime »

Souvent les titres sont provocateurs, commençant avec des phrase comme « Ce qu’on dit pas... », ou bien « La vérité qu’on cache au bon public... ». Une portion considérable des articles offre une histoire alternative de celui donné par les autres presses. Une histoire donne un bon exemple : « La vérité sur une arrestation sensationnelle », qui décrive l’arrestation d’un assassin appelé Boc. Ils ont réçu une lettre « donnant quelques précisions sur l’arrestation », qui « contenait trop de contradictions avec le version officielle ». L’occasion pour les lecteurs d’entendre une voix différente est bien-sûr de valeur.

Je trouve que cette presse était plus sympathique aux vietnamiens. Un autre pièce, une lettre, a décrivé un situation lamentable où un lecteur a vu un soldat vietnamien qui été attaché par le milieu du corps « comme un chien en lasse » pour l’empêcher d’echapper. Elle était signé, « Le chien des casernes ».

On a trouvé la citation suivante, publiée sur une demi-page, très grande, d’Albert Sarraut, gouverneur-général de l’Indochine et plus tard premier ministre de la France :

« Ne rusons pas. Ne trichons pas. A quoi bon farder la vérit’e ? La colonisation, au début,k n’a pas été un acte de civilisation, une volonté de civilisation. Elle est un acte de force, de force intéressée. C’est un épisode du combat pour la vie, d la grande concurrence vitale qui, des hommes aux groupes, des groupes aux nations, est allée se propoageant à travers le vaste monde. Les peuples qui recherchent dans les continents lointains des colonies et les appréhendent, ne songent d’abord qu’a eux-mêmes, ne travaillent que pour leur puissance, ne conquièrent que pour leur profit. »