Marguerite Duras est une écrivaine et cinéaste française prolifique, née dans une ville nord de Saigon en 1914. Ses oeuvres sont souvent autobiographiques, décrivant sa vie comme fille française blanche élevée à Vietnam. Les deux romans Un Barrage contre le Pacifique et L’Amant partagent un grand nombre de similarités à cause de leur aspect autobiographique, mais leurs styles et thèmes diffèrent significativement. Cependant, ces deux livres nous offrent une perspective unique sur les thèmes de la colonie française en Indochine.
Un Barrage Contre le Pacifique raconte l’histoire d’une fille, Suzanne, et sa famille disfonctionelle et pauvre. Elle et son frère Joseph veulent bien échapper la situation de leur mère, qui , toujours espèrant contre toute réalité, essaie encore et encore de trouver une bonne vie dans leur bungalow isolé et de planter des semences dans la terre salée. Le nom du livre fait référence aux efforts futiles de la mère de construire des murs tout autour du plein pour empêcher l’invasion annuelle de la mer. Cet sentiment d’être impuissant face à des pouvoirs beaucoup plus grand (la mer, les agents du gouvernement, la pauvreté), celui représente les effets de colonisation sur les colonisé ; bien que Suzanne et sa famille soient blancs et françaises, ils se sont perdu néanmoins dans le système écrasant de la colonie. Cette idée d’être enlisé, sans choix, sans pouvoir, est montré également par les relations de Suzanne avec Monsieur Jo, un soupirant qui, parce qu’il a de l’argent, peut la maîtriser jusqu’à un certain degré, à tel point qu’elle pense à lui-même que « le monde la prostitua ». Comme tout l’Indochine, elle se trouve sous un pouvoir la coinçant, qui veut, comme un autre prétendant, Monsieur Barner, la former, la definir. On voit aussi dans ce livre un sens de l’exploitation de la colonie par les français—pas trop en matière des ressources naturelles, mais plus la vue des colonies comme des cours de récréation pour les hyper riches. Les personnages comme M. Jo et M. Barner, comme la femme mariée avec qui Joseph a eu un liaison, ils vivent parmi des gens très pauvres pour sembler même plus riches, profitant du manque de loi et jouissant une vie de l’aise incroyable pendant les autres travaillent sans rien gagner. Contrairement aux Suzanne et sa famille, ils ont la mobilité de faire ses propres choix, d’échapper s’ils le veulent.
L’Amant raconte une histoire similaire, encore une jeune fille née en Vietnam avec une mère instable et un frère effrayant. Encore la protagoniste est adoré par un homme riche, mais cette fois c’est un chinois rich au lieu d’un français. Leur liaison est improbable : il est chinois, elle blanche ; il est rich, elle pauvre ; il est plus agé, elle très jeune, et la thème de l’impossibilité de ce relation est de plus en plus évident à travers de l’histoire. Le façon dans lequel elle raconte l’histoire est très différent de celui de Barrage ; il n’est pas chronologique, c’est plus comme une série de photos brumeuses, comme si Duras a écrit ses souvenirs pendant elle rêvassait. Ce style donne le livre une autre perspective sur la thème d’impossibilité : l’impossibilité de bien raconter l’histoire d’une vie, sans parler d’une époque dans l’histoire. Il n’y a pas même le petit niveau de discussion des vietnamiens indigènes qu’on trouve dans Barrage parce que cette histoire est beaucoup plus personelle que celle-là, et je trouve qu’elle n’essaie pas de raconter une histoire de la colonie autant qu’une histoire de une premier amour. Mais même sans l’intention, on peut trouver des thèmes de la colonisation là. L’interêt dans la sexualité des « autres » qui était évident dans la culture européenne de cette période est apparent aussi dans les déscriptions de l’amant de Cholon. Il est feminisé, sans muscles, maigre, « sans virilité autre que celle du sexe ». D’habitude, on entend de l’sexualisation des femmes de l’Orient ou de l’Afrique, mais ici Duras dépouille l’homme chinois de sa masculinité. C’est L’Amant qui a fait Duras connue, et je pense que c’est à cause de l’impression de honnêteté que son style donne au lecteur, presque comme une confession privée.
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