Phnõm-Penh, 1942.
Cet article décrive les prémières années de la periode de colonisation française. L’auteur a trouvé en possession de la Société quelques diverses pièces de correspondance de l’Amiral d’Estaing, un vice-amiral français et un homme très influent sur la développement des colonies français.
Le ton de cet article est soutenu, avec beaucoup de citations et affirmations factuels. Malgré ça, l’auteur n’essaye pas cacher son admiration fervente pour l’Amiral, passant quelques paragraphs au début en faisant l’éloge pour son « intrépide énergie », et cetera.
Il est intéressant d’observer une commentaire (académic, peut-être, mais pas trop neutre) écrit au crépuscule de la colonisation française qui décrive sa début, qu’il décrive, toujours fleuri, comme « une des périodes le plus saisissantes de notre histoire coloniale ». Peut-être parce qu’il était écrit assez tard dans la période de colonisation français, il y a plus de discours sur les motivations pour coloniser, comme le suivant :
Ça me paraître étrange, la confession d’avoir fait tous pour profiter (pas pour civiliser, ni pour convertir), mais c’est possible qu’au moment un avantage économique était vu comme bon raison pour envahir les pays d’autres.
Inclui dans l’article étaient des cartes intéressant, que je vais partager ici.
L’auteur a parlé considerablement de la signification de Sumatra dans le commerce hollondais.
Ce qui m’interesse plus, c’est que l’accent est toujours sur les côtes—les villes sur les côtes, les ports, et sur quelques cartes pas montré ici, les fleuves. Tous les endroits facile à explorer par bateau. Notez particulièrement la dernière carte, de Cochinchine, où inclui dans le coin de la carte est la vue de la côte de la mer.
* Vous pouvez regarder une commentaire d’un autre article de ce presse sur ce site le 9/2/2009
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