Monday, September 28, 2009

Film Review: The Scent of Green Papaya


« The Scent of Green Papaya » est un film vietnamien qui raconte une histoire d’une petite fille qui est domestique d’une famille riche. La cinématographie est incroyablement belle, et se concentre sur les petites choses : les fourmis par exemple, les graines de papaye, un grillon, les mains et les pieds des personnages centrales. Le film était filmé en France dans un « sound stage » (cependant l’histoire se passe à Vietnam), une structure construite spécifiquement pour le film, où tous les sons sont enregistrés. Le film est presque sans dialogue, mais la présence de beaucoup de musique, les petits sons du travail et des grillons, et de temps en temps des avions et des alarmes qui préviennent du couvre-feu—tous aident en formant l’histoire de la vie de Mùi.

Elle apprend son travail d’une domestique plus âgée qui la raconte l’histoire de la famille, dont le père part souvent pour des autres femmes, la grand-mère reste au première étage depuis la morte d’une grand-fille du même âge de Mùi, la mère est propriétaire du business familial, et le plus petit fils est toujours en train de tourmenter Mùi. On reste à la maison pendant tout le film, je pense parce que c’est la vie de Mùi, mais peut-être ça représente des autre personnages aussi, le père qui à décidé à rester là pour faire pénitence, où la grand-mère au deuxième étage. Beaucoup des plans sont entre des fenêtres, et je trouve que ça a le même effet.

Dix ans après la morte du père de la famille, Mùi est transférée pour être la domestique d’un ami de la famille, un artiste et musicien qui s’appele M. Khuyen, qui se sépare de sa fiancée pour être avec Mùi, qu’il apprend comment lire, et qui, à la fin, lise à son enfant pendant enceinte. Les personnages dans le film, même Mùi, j’avais dur à m’identifier à eux. Je pense que c’est en partie par manque de dialogue, mais seulement quelques uns des personnages m’a émue : la mère, quand son marié est parti, les relations entre Mùi et le fis espiègle (qui je pense sont universel), et l’autre domestique (elle a parlé plus que les autres, peut-être c’est à cause de ça). Mùi soi-même m’a frappé comme un peu enfantin, même quand elle était plus agée ; l’émerveillement de son monde qui était mignon quand elle était une fille est devenu bizarre quand elle était femme, et l’absence de mots est certain de m’avoir fait le penser de lui.

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