Monday, September 28, 2009

Notes sur la visite du Musée Ackland

« Chinoiserie »= un style décoratif vaguement « oriental » qui était très populaire en Europeet utilisé pour beaucoup d’objets divers.

Les pièces ont représenté un certain admiration pour les pays étrangers ; plusieurs ont montré la richesse et noblesse de « l’autre ». Un autre étudiant a suggéré que c’est possible que ce phénomène est à cause du fait que la plupart des pièces était fait avant l’époque de la colonialisme.

Représentation de l’Est comme fantastique, un cour de recréation pour les riches.

Le photo qui a été appelé « Academic Nude », qui montré une femme nue, européenne et habillé dans une costume « exotique », ambigüe (pourquoi aller en autre pays si vous pouvez peindre une femme blanche nue et « orientale » ici en France ?)

L’inspirations asiens pour la mode en Europe

« Cleopatra and the Peasant » peint dans un façon pour aider les européens s’identifier avec Cléopâtre, la contraster avec le paysan.

Quelques thèmes :

La noblesse et la richesse

L’admiration & fascination (de la sexualité/corporalité, la fortune, la simplicité) de l’autre

La vue que les « primitifs » sont sans progression

L’érotisme (harems, nudité, fantasie)

Film Review: The Scent of Green Papaya


« The Scent of Green Papaya » est un film vietnamien qui raconte une histoire d’une petite fille qui est domestique d’une famille riche. La cinématographie est incroyablement belle, et se concentre sur les petites choses : les fourmis par exemple, les graines de papaye, un grillon, les mains et les pieds des personnages centrales. Le film était filmé en France dans un « sound stage » (cependant l’histoire se passe à Vietnam), une structure construite spécifiquement pour le film, où tous les sons sont enregistrés. Le film est presque sans dialogue, mais la présence de beaucoup de musique, les petits sons du travail et des grillons, et de temps en temps des avions et des alarmes qui préviennent du couvre-feu—tous aident en formant l’histoire de la vie de Mùi.

Elle apprend son travail d’une domestique plus âgée qui la raconte l’histoire de la famille, dont le père part souvent pour des autres femmes, la grand-mère reste au première étage depuis la morte d’une grand-fille du même âge de Mùi, la mère est propriétaire du business familial, et le plus petit fils est toujours en train de tourmenter Mùi. On reste à la maison pendant tout le film, je pense parce que c’est la vie de Mùi, mais peut-être ça représente des autre personnages aussi, le père qui à décidé à rester là pour faire pénitence, où la grand-mère au deuxième étage. Beaucoup des plans sont entre des fenêtres, et je trouve que ça a le même effet.

Dix ans après la morte du père de la famille, Mùi est transférée pour être la domestique d’un ami de la famille, un artiste et musicien qui s’appele M. Khuyen, qui se sépare de sa fiancée pour être avec Mùi, qu’il apprend comment lire, et qui, à la fin, lise à son enfant pendant enceinte. Les personnages dans le film, même Mùi, j’avais dur à m’identifier à eux. Je pense que c’est en partie par manque de dialogue, mais seulement quelques uns des personnages m’a émue : la mère, quand son marié est parti, les relations entre Mùi et le fis espiègle (qui je pense sont universel), et l’autre domestique (elle a parlé plus que les autres, peut-être c’est à cause de ça). Mùi soi-même m’a frappé comme un peu enfantin, même quand elle était plus agée ; l’émerveillement de son monde qui était mignon quand elle était une fille est devenu bizarre quand elle était femme, et l’absence de mots est certain de m’avoir fait le penser de lui.

Monday, September 21, 2009

Des notes sur Josephine Baker et le film Princess Tam Tam


La Révue Negre—un spectacle publique

-beaucoup de stéréotypes africains

-Baker—très sauvage, très érotique, jupe de bananes

Elle savait que les français l’ont exploité à cause de sa race

Est-ce qu’elle à réussi à changer (un peu, subtilement) les idées ?

Le « virus noir » : un fascination des intellectuels, des artistes de l’Afrique particulièrement la rélation avec le corps

-hyper sexuel

-hyper corporal, corporalité

àsignification de la danse

Princesse Tam Tam

Joséphine Baker joue Alwina, trouvé par un homme français qui a essayé de la passer comme princesse tunisienne en France.

Scène 1—

Elle arrive et danse pour les enfants—comme eux—elle n’est pas du tout maternelle

-elle commence par faisant la roue

-la mouvement de sa tête (comme oiseau)

-les bras dans un position comme les heiroglyphs

-mouvement ‘orientale’ des épaules

*Pas vraiment africain ou tunisien—un mosaic de l’autre

Scène 2—

Max propose qu’Alwina vient avec lui et être « civilisé »

-il explique qu’elle peut avoir des robes plus belles—et gagner du respêt à cause de l’aspêt extérieur

-Elle est très curieuse et confuse de l’idée de manger au sonne de cloche

àune critique un peu de contrôle sur corps des européens (superficiel, artificiel) mais au même temps la sauvagérie des Africains

Scène 3—

Alwina danse au bar

-Le caméra centre sur l’alcool (elle boit pendant qu’elle danse, toujours des verres dans l’image, elle jete le verre au barman, l’homme qui danse comme s’il peut faire par instinct primitif)

-Comme si elle est à sa place dans les endroits marginals

-un peu du « Charleston »--plus d’aspêts africain-américain qu’africain

Scène 4—

Une femme essayer de convaincre Alwina de repeter sa performance de scène 3

-« Buvez ! »

-Elle ne peut pas résister la danse

-Encore, tous ne sont pas les danses africains (beaucoup de cuban, de n’importe-quoi, si c’est l’autre)

-Le spectacle est un peu des cultures de l’autre—chinois, africain, ambigu

-elle s’est deshabillé

-le seule présence de la tam tam a détruit tous les efforts à civilisation de Maxà est-ce qu’il ça veut dire qu’elle est incivilisable ? que ce n’est pas naturel pour les africains être civilisés

-(l’homme sur le tam tam parle/chante, mais on n’écoute pas sa voix, c’est pas intégré dans le film

*les français leurs-mêmes imitent les colonisés

*le stéréotype de rhythme naturelle

Synthèse sur « Afrique, je te plumerai » et « Aimé Césaire : Une voix pour l’histoire »

Les films, « Afrique, je te plumerai » et « Aimé Césaire : Une voix pour l’histoire » (parties I-III) représentent les voix des colonisés dans un monde en train de changer. « Une voix » touche plus la rédécouverte de l’identité culturelle des peuples colonisés avant et au moment de la retraite européene de l’Afrique ; « Afrique » parle plutôt des effets durables de colonisation sur les pays (Cameroun en particulier) qui, libres maintenant de la contrôle européen, luttent à trouver l’equilibre dans le monde post-colonial. Ensemble, toutes les deux offrent une vue dans quelques grandes thèmes de la colonisation et nous laissent examiner la « fin » de l’époch colonial par les yeux des colonisés.

La première partie d’ « Une voix » donne l’histoire d’Aimé Césaire, un poet, penseur, écrivain et homme politique martiniquais dont les poems, lettres, et pièces ont influencé beaucoup les pensées sur la décolonisation et ce qu’il veut dire être noir et libre de se définir. Né à Martinique en 1913, il a gagné sa perspective sur la situation colonial par étudiant à Paris, où il avait gagné une bourse d’études. Là, il a rencontré ses amies Léopold Sénghor (de Senegal) et Léon Damas (de Guyane Française), qui ont partagé ses interets, et qui deviendraient bien connu avec Césaire comme des penseurs sur les questions de race et culture. Ensemble, les trois ont publié le prémier numero de L’Étudiant Noir, une revue litteraire. Leur intélligence était apparent, et a mis en question l’idée de l’infériorité native des gens d’origines Africains, cultivé avec tellement fascination pendant l’ère coloniale. Ces trois jeunes hommes, instruits à un lycée français, commençaient à essayer de se définir après avoir été definis, pendant des années, par les colinisateurs. Ceci est un des grandes problématiques de colonisation : le besoin de se definir. En parlant de ce sujet, ce besoin est la raison pourquoi les européens ont fait tellement d’études scientifiques sur « l’autre ». C’est avec ce but que des « scientifiques » aux « zoos humains » ont mésuré et essayé à quantifier les differences entre les races, et c’est encore avec ce but que la développement de « Social Darwinism » a eu lieu. Les européens ont cherché une justification pour la colonisation, et à cause de ça, leurs études avaient la tendance de les placer en relation avec la reste du monde ; d’habitude, ils ont « découvert » leur place en haut. Ici on voit cette thème à l’inverse : à la fin de colonisation, c’est les colonisés qui doivent se trouver dans le monde, ayant perdu de leur culture dans l’oppression de colonisation.

Dans la deuxième partie, « Une voix » suit Césaire pendant la développement de ses idées très originals, particulièrement le concept de « negritude ». Césaire, avec ses amis scolaires, a soutenu qu’au lieu d’assimiler, comme si les blancs avait eu raison en trouvant les africains dans le besoin de la mission « civilisatrice », il faut que les noirs retrouver leur vrai culture africaine, avant que les épochs d’esclavage et de colonisation l’avait diminué et dégradé. Avec ses idées, Césaire est entré au politic dans la partie communiste de Martinique (et, eventuellement, de la partie communiste de la France), comme poet et penseur. Mais il a été touché par la dénoncement par la partie de la « musique décadente » comme jazz, et bientôt il est parti de la partie communiste, disant dans une lettre très influentielle qu’il fallait que la partie travaillent pour les noirs, pas que les noirs travaillent pour la partie. L’adoration de la culture noire dans les arts et les divertissements, comme la musique jazz, ou les poets de la « Harlem Renaissance », ça juxtapose avec la dégradation des cultures de « l’autre » apparent dans les evenements comme l ‘Exposition Coloniale, formant un des grands paradoxes de colonisation. Au même moment des études susmentionnés, qui « preuvent » l’infériorité des non-européens, les français (et bien toute l’Europe) étaient fascinés par la musique, la danse, tous ce qui était vu comme exotique. Ce fascination, ce goût de l’exotique, caractérisait toute la période de colonisation, et ce paradoxe continue dans l’ère post-colonial. La mouvement pan-africaine dans laquelle Césaire a été engagé me frappe comme un continuation sur la même idée, sans le même sens de dégradation ; les artistes modernes ont apprécié la culture africaine pour sa valeur artistique, pas pour un sens ignoble quelconque de barbarisme ou hypersexualité. Picasso, un ami de Césaire et dont les oeuvres ont été inspirés beaucoup par l’art « primitif » de l’Afrique, a décrivé Césaire comme « the embodiment of black art ».

La partie finale d’ « Une voix » revisite la participation de Césaire dans les dernières années de colonisation. Mandela est sorti de prison, la suffrage universelle a été implémenté à 1956, et la retraite des colonisateurs et la choix de nouvelles gouvernements se sont eu lieu. Césaire continue à écrire la poésie sur le sujet de l’identité noir, mais comme partout en Afrique le pouvoir était en train de changer des chefs européens aux chefs noirs, Césaire s’est concerné sur partageant ses idées politiques. Pour ce raison il a offri comme exemple la situation en Haiti, où la transition a donné une modèle de ce qu’il faut pas faire. Il a écrit La Tragède de King Christophe, une pièce pour la théatre, une forme artistique qu’il a pensé serait mieux entendu par les peuples des pays en transition. Encore, ce parle de la mission civilisatrice et de l’assimilation : l’argument de Césaire contre le nouveau pouvoir en Haiti était que la nouvelle gouvernement n’avait changé rien que le couleur du chef. Il a essayé de montrer catégoriquement que la revolution ne veut pas dire simplement changer les leaders politiques et continuer à faire les mêmes choses. Pendant le tumulte au Congo dans sa lutte pour l’indépendence, il a produit une autre pièce, Une Saison de Congo, encore offrant ses idées pour une gouvernement vraiment africaine au lieu d’un ombre de la ancienne gouvernement. Par divisant au hasard l’Afrique et imposant par force leur système, la « civilisation » des européens a réussi en faisant les africains oublier leur propre mode de dirigeant et organisation, et Césaire a cherché à les aider le retrouver.

En « Afrique, je te plumerai », la narrateur recommence où « Une voix » a fini, quelques années après les anglais sont partis de Cameroun. Le titre, « Afrique, je te plumerai », vient d’un chanson pour les petits, comme si, traités comme des enfants ou des humains incomplets, les africains sont maintenant préparé a utilisé ce qu’ils ont appris du monde colonisateur pour l’echapper. Les pouvoirs européens ont laissé le pays en désordre ; le Cameroun était un pays exploité pour ses resources, et quand ils étaient tous utilisés, ils sont partis. Encore aujourd’hui, pour réussir dans la société, les parents disent à leurs enfants qu’il faut travailler dedans la système, à l’école, (encore les restes de la système de colonisation et « civilisation »). Le film explore le question des conséquences de la colonisation après l’indépendence, et il a trouvé que les européens sont les propriétaires encore de la plupart d’information, des infrastructures en Cameroun, parce que les pays occupés n’ont eu pas l’occasion de créer leur propre infrastructure. Le narrateur a dit qu’il cherche comment les indigènes ont résisté, et ce qui reste de leur culture, mais en cherchant, il trouve que la plupart des livres disponibles aux bibliothèques sont écrit par les anglais ou les français, rarement par les camerounais, et le plus rare était des livres sur la Cameroun par les camerounais. C’est difficile de se recréer quand quelqu’un d’autre possède votre histoire, et j’imagine que c’est difficile aussi d’eviter croire l’histoire raconté par les colonisateurs. C’est ce que Aimé Césaire a esperé de changer.